Pour sa dix-huitième Bière Littéraire, La Noiraude, n’a pas, comme à l’accoutumée, mis les petits plats dans les grands. Elle a juste mis des chaises, un comptoir, des affiches, quelques lampes et une sono afin de bien entendre ce qu’auraient à nous dire les intervenants de la soirée.
Cette année c’est Sébastien Gendron, le plus anglais des auteurs français de toute l’Aquitaine, qui a honoré la Noiraude de sa présence dans les murs de la Médiathèque de l’Ic.
Mais avant toute chose, il fallait installer les lieux. Ceux qui connaissent savent qu’aménager un tel espace n’est pas forcément chose facile, même avec de l’expérience.
Voici un petit reportage en images afin de vous faire, sans aucun doute, regretter d’avoir fait l’impasse sur cette soirée qui fut très riche en rebondissements ! Les personnes présentes pourront en témoigner pour la Noiraude….

Le Forum des champs était aussi présent pour assouvir la soif de lecture du public. Vous remarquerez la précision du light-show

Qui dit Bière Littéraire, dit Bière… David était donc là afin d’étancher la soif du public et de l’invité !

On ne rigole pas toujours à la Noiraude ! La proclamation des résultats du concours par Monsieur Denis Flageul de la Fureur du Noir, c’est du sérieux.

Jean-Luc Guardia, retenu par des obligations sportives a envoyé un mot d’excuse, où il cite la vénérable association 813, et sa formidable revue. Cela tombe bien la Noiraude a tous les numéros.

Florence Médina : « Ah je suis bien contente d’avoir à nouveau gagné ce concours et d’être ici à nouveau » Frédéric Prillleux : « Ben y a intérêt »

Alain Donnio : « Ah je suis bien content de gagner ce sublime concours et d’être ici parmi vous pour la première fois » Frédéric Prilleux : » Ben y a intérêt »

Le président de la Fureur du Noir, Alain Le Flohic, tout en cheveux, fait découvrir la carte postale du prochain festival signée du grand Serge Clerc ! On voit rien sur la photo, à cause du light-show, certainement.

Sébastien Gendron, en plein appel à l’émeute . « Mais faites taire ce fou ! braille une voix dans l’oreillette de l’organisateur qui ne sait plus quoi faire pour arrêter l’écrivain-activiste » .

La lecture d’extrait sous le regard de l’auteur, exercice de haute voltige… Pascale de la Noiraude saute le pas…

L’éditeur du recueil « Noiraudes sur la Ville », Yves, des éditions de la Gidouille, complimente l’auteur : « Pas mal ton catogan ! C’est beaucoup de travail ? »

Cette soirée très intense nous a aussi permis de revoir plein de copines et copains de la Fureur du Noir. Rendez-vous à Noir sur la Ville en novembre à Lamballe !!!
Manuel Le Bars et Fred Prilleux pour la Noiraude
Photos de Justine Richecoeur